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« J’évite de sortir de chez moi les jours de pic de pollution aux particules fines »

Selon l’OMS la pollution de l’air est à l’origine de
43 % des décès imputables à la BPCO. [14]

La pollution, extérieure comme intérieure, sont des facteurs de risque important de BPCO. [4,15,16]

INTÉRIEURE :
  • Les biocombustibles ou le charbon utilisés pour la cuisine et le chauffage.
    • Fait suite à des utilisations domestiques comme pour la cuisine, le chauffage et autres en brulant la biomasse ou des combustibles solides dans des fours inadaptés.
    • Ce mécanisme concerne surtout les femmes dans les pays en voie de développement.
EXTÉRIEURE :
  • La pollution atmosphérique surtout en zone urbaine a un impact significatif sur le développement et la maturation des poumons.
  • Un taux élevé de pollution atmosphérique dans les milieux urbains est nocif pour les pathologies cardiopulmonaires et peut être responsable de l’augmentation de l’incidence de la BPCO.
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La pollution peut être à l’origine d’une exacerbation de BPCO.[17]
Demandez conseil à votre médecin.

Quelques conseils pratiques : [4,15,17,18]

  • Être attentif aux pics de pollution (par exemple via des applications, des sites internet comme  www.airparif.asso.fr.)
  • Limiter les sorties en cas de forte pollution.
  • Porter un masque en cas de travaux ou dans des lieux avec beaucoup de particules en suspension.
  • Utiliser des fours non polluants.
  • Veiller à ce que la ventilation soit efficace.

Focus polluants professionnels : 19

  • La recherche et la prévention d'une éventuelle exposition respiratoire aux polluants professionnels s'imposent chez toutes les personnes qui ont une BPCO.
  • Parfois un changement de poste de travail doit être envisagé.
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BPCO et travail :
En cas d'exposition professionnelle prolongée à des aérocontaminants, et sous certaines conditions, la BPCO peut être reconnue comme maladie professionnelle. [19]
Parlez-en à votre médecin traitant et à votre médecin du travail.